Dorsaz n’aime pas les fins. Elle évoque l’équilibre fragile de nos vies de funambules, le temps qui se dérobe, les histoires inachevées. Elle nous invite à se pendre...mais à son cou, pour mieux s’évader, sans faire de bruit. Elle aime la nuit, quand celle-ci nous oublie. Et surtout les brumes de l’aube, qui font vibrer des mots, qu’ils soient d’amour ou de révolte. Elle cherche l’intensité, dans cette vie qui écœure, qui pleure, mais qui rit toujours plus fort.